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Bonjour et Bienvenu sur mon blog dédié au voyeurisme coquin.
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-          Vas y ! Assis toi sur ma bite ! NICOLAS devint vulgaire et direct ! son désir trop fort s'exprimait par des mots d'ordres délicieux et jouissifs. Je savais ce que cela signifiait et mon cul déjà en frétillait.

 


Cette superbe bite allait bientôt transpercer mon intimité pour mon plus grand plaisir. Je vis NICOLAS presser fortement sa verge pour tenir son érection et surtout mieux diriger son gland. Je commençais à m'accroupir quand je sentis ce gland violacé à l'orée de ma rondelle. J'étais la boule d’un bilboquet géant et soudain cette fraise TAGADA entra au plus profond de moi. Je senti d'abord le gland écarté l'anus puis bientôt toute la verge coulisser dans mon fion accueillant. Ce fut un réel moment de bonheur tant la taille du beau sexe de NICOLAS épousait parfaitement ma cavité anale. NICOLAS restait immobile dirigeant simplement sa baïonnette dans mon fourreau. Je faisais tout le travail, accélérant, bougeant, me levant, m'abaissant pour bien actionner le piston. Je ralentissais car connaissant l'issue du ramonage je voulais au maximum profiter de cette superbe queue dans mon cul.


NICOLAS poussa plusieurs petits râles et je serais les dents ! je savais qu'il se retenait car pour lui aussi le moment était divin. Malgré les kilomètres de queues que mon cul avait vue défilé j'avais su rester étroit et accueillant pour une belle bite fraîche et juteuse. Ma croupe douce et imberbe excitait les plus endurcis et je savais me cambrer suffisamment pour viens remplir ma cavité. Désormais NICOLAS me tenait par les hanches et accélérait le mouvement de va et viens de sa bite dans mon trou chaud. Il continua ses râles rauques et la tendresse du début avait désormais laissé la place à une sauvagerie bestiale.

-          Lève toi maintenant ! et tourne toi ! mes yeux se fermèrent tant l'ordre fut délicieux à entendre.

 

Depuis le début de ma vision de ce corps superbe je rêvais de me faire mettre par ce bel ours mais là je n'en pouvais plus ! mon cul était en feu et la vision de son bel engin avait décuplé l'envie de me faire sauvagement tringlé. NICOLAS ne disait rien, il était méthodique et caressant. Il maîtrisait son corps, il maîtrisait l'action j'étais soumis à ses moindres désirs. Tout mon corps était à lui pour le faire jouir.

Je pressentais mes fesses au bel animal qui d'une main puissante me fit me cambrer devant lui. Il restait assis sur le sofa et je sentis son souffle contre mon anus entrouvert. Sa langue humide vient doucement lécher mon trou frémissant. Je crois que j'ai crié quelques choses de sale de vicieux de pute ! NICOLAS fut surpris mais continua de plus profond encore. Bientôt c'est toute sa langue rappeuse qui s'occupait de mon fion. Cette langue s'activait sur l'anneau de mon vice. Mon trou en feu autrefois accueillant pour le gardien mexicain allait devenir le chausson douillet dont rêvait NICOLAS. De ses deux mains il écartait bien mes fesses pour mieux jouir du spectacle anal et fourrer sa langue dans mon orifice rougit de désir. Bientôt je sentis un doigt s'aventurer dans mon trou lubrifié. Il entrait venait et je gémissais attendant avec impatience le viol du ring par sa massue.

- Vas y maintenant suces moi ! ordonna doucement NICOLAS.




Je m'exécutai avec délice tant son fruit défendu était appétissant et charnue. A genoux je fus rapidement dans l'axe de son sexe et je commençais l'effeuillage de sa belle tige. J'engloutie rapidement son gland et me mis à lui tailler une pipe dont il se souviendrait à jamais. J'étais doué pour la turlute et mon art était tout au service de la jouissance de NICOLAS. Chaque petit coup de langue sur la verge de NICOLAS le faisait frémir et je sentais sous mes lèvres le plaisir contenu. J'étais déchaîné et bien que l'énorme sexe aurait rebuté plus d'un débutant j'arrivais à l'engloutir pour mieux lui faire sentir ma passion dévorante. NICOLAS observait amusé la scène tout en gémissant. Il me caressait tendrement les cheveux et semblait si épanouit que l'entreprise aurait pu durer des heures entières. Sa queue superbe était bien huilé par ma salive et pour reposé NICOLAS tant ma succion était fougueuse je décidais une petite pose en commençant à pourlécher ses bourses velues.

Rapidement nous roulâmes sur la moquette car nous avions immédiatement compris combien le désir sexuel était fort. NICOLAS était devenu le meneur de ce jeu érotique et très méthodiquement déboutonna mon pantalon. Il me caressait le corps avec fermeté et tendresse, malaxant mes seins pétrissant mes fesses. Il arracha mon caleçon et m'observa nu devant lui. Il souriait heureux de jouer avec son harceleur. Je bandais comme un âne à la fois ému de cette issue et gêné par cette pose impudique. Il s'assit sur le sofa puis me fit tourner sur moi pour admirer mes fesses douces et soyeuses.

 

De nouveau face à lui il embrassa mon sexe dur de petits baisers. Sa langue commença à parcourir mon gland avec de petits lapements sensuels. Ses mains pétrissaient toujours mes fesses. Puis il joua avec ma queue ! la frotta contre sa joue ! l'embrassa puis la branla toujours en me regardant dans les yeux.

A son tour il dégrafa sa ceinture et déboutonna son pantalon. La bosse de l'entrejambe laissait deviner une superbe érection ! alors il baissa son pantalon puis doucement sortit son sexe de son slip.



"Ouah !" je ne pus m'empêcher de pousser un cri en découvrant l'engin dans une forêt de poils châtain roux ! Belle queue, bien large et veineuse. Très bonne taille et gland très gonflé ! voici un menu très appréciable !






Nos deux corps bientôt s'enlacèrent sur le sofa et très vite l'étreinte charnelle reprit. NICOLAS le torse dénudé se colla à moi aspirant mes lèvres et engloutissant ma langue. Il était fougueux et enragé d'aimer. Souriant il arracha ma chemise dénudant à son tour mon torse imberbe mais musclé. Toujours allongé il me caressa un sein ! posa tendrement sa main puissante sur mon torse fébrile comme pour sentir mon cœur palpiter. De ses doigts il joua avec mon téton puis recommença son étreinte goulue.










Puis nos lèvres asphyxiées se séparèrent pour mieux plonger nos yeux dans l'amour de l'autre. Il me souris tendrement et je lui passais la main sur le front en signe d'apaisement. Notre étreinte repris dans un silence confondant. Notre osmose était totale et aucun séisme n'aurait séparée ces deux êtres ainsi réunis par la fougue d'un baiser.

 

- Je t'aime !

- Je t'aime aussi !

- Tu m'en veux pour le téléphone ?

- Non c'est fini !"

- Tu savais ?"

- Oui ! le gardien m'avait tout raconté !

- Le salaud ! il a abusé de moi pour garder le silence !

- On se vengera ?

- Oui !








Entré dans le salon il ôta sa chemise et s'allongea sur le sofa. Je courrai en tout sens pour trouver la trousse à pharmacie !! des pansements !!! de l'eau !!!

 

Je me mis à genou devant ce grand corps souffrant et commençais à lui soigner les plaies au visage. Ses grands yeux me souriaient et de ma main tremblante je nettoyais délicatement ses blessures.




- Je t'aimes tu sais !

- Moi aussi !

 





Ma bouche s'approcha de ces lèvres et je fermais les yeux. Ce fut divin ! je sentis sa langue envahir ma gorge et dans un voluptueux baiser faire trembler tout mon être. Fougueusement il attrapa ma tête entre ses mains pour mieux m'embrasser dans une étreinte sensuel et douce. Ses lèvres humides et chaudes étaient comme un fruit défendu qui s'offrait à ma gourmandise. J'étais en extase et savourais le goût viril et suave de son baiser langoureux et profond.

- Espèce de salaud ! tu vas voir ! j'appelle les flics ! vas y montre toi ! salaud ! ordure ! criait NICOLAS hors de lui.

La porte en dessous mon appartement s'ouvrit et j'entendis la conversation animée et violente. Echanges d'insultes ! hurlements ! coups de points ! puis claquement de portière ! silence !!!

Je descendis l'escalier et trouvais face à la porte de mon voisin NICOLAS couché à terre ! vociférant. L'arcade sourcilière saignait et du sang sortait de sa bouche. Sa chemise était déchirée laissant apparaître son torse.

 


- Qu'est ce qu'il s'est passé ! tu es blessé ! t'as rien de grave ! viens chez moi !" je prononçais ces mots charitables sachant que c'est moi qui aurais du avoir la raclée.

- C'est ce salaud ! c'est lui qui me matait ! putain ! j'vai appeler les flics ! j''vai porter plainte ! c'est un fou ! un détraqué !" NICOLAS se releva et je l'aidais à monter jusqu'à chez moi.






Mon reportage sur l'édition 2005 de la GayPride Parisienne n'est plus en ligne.
Pour en avoir une copie, c'est simple je l'envoie par email.

A l'année prochaine...

Je le vis surgir dans sa cuisine en furie et ouvrir la fenêtre en hurlant et menaçant de son poing un ennemi invisible. Bientôt je le vis sortir de l'immeuble traverser la rue et courir vers mon immeuble. Je commençais à trembler ! allait il arriver ! je restais derrière ma porte prêt à intervenir ! mais rien ! je collais mon oreille ! mais rien !

Soudain des éclats de voix ! des insultes violentes ! des coups contre une porte ! à l'étage en dessous ! J'ouvris ma porte et entendis la voix de NICOLAS.

 


- Espèce de salaud ! tu vas voir ! j'appelle les flics ! vas y montre toi ! salaud ! ordure ! criait NICOLAS hors de lui.

Demain c'est promis je raconte tout à NICOLAS. Je remontais mon pantalon le cul laminé, en feu et dilaté. L'ascenseur descendit sans que nous ne prononcions aucune parole. Le silence fut pesant et le sperme commença à sortir de mon trou pour souiller mon slip. J'étais mal à l'aise d'avoir été dominé et soumis à ce gardien mexicain mais cela m'avait excité et je pensais laver ainsi l'affront que j'avais fait à l'adorable NICOLAS.

Le dimanche matin je pris mon petit déjeuner seul et triste à l'idée de ne plus revoir le beau NICOLAS. Les images de son corps, le son de sa voix, la douceur de ses mains hantaient mon esprit. Je savais que c'était le jour ou je devais tout lui révéler mais je retardais l'échéance n'osant même plus regarder à ma fenêtre.




Vers 3h de l'après midi je me motivais pour prendre le téléphone.

 

- Allô NICOLAS !

- Ah ! non pas encore vous ! maintenant c'a suffit ! je t’ai démasqué ! tu vas voir ! salaud tu vas passer un sale quart d'heure" Hurla NICOLAS dans le téléphone.

Je senti le gardien lécher ses doigts pour m'humecter le fion. Il cherchait de son doigt l'entrée de mon orifice anal. Je tremblai dans l'attente de la violente douleur. Il introduisit un doigt puis fouilla mon trou du cul. Je me sentis pute, la tête baissée !

J'entendis le bruit de sa ceinture ! puis de son froc et sentis le contact de sa bite épaisse sur ma rondelle humide. D'un coup de rein sec, il força l'entrée de mon cul bien trop étroit pour le volume de son gland. Je serrai les dents !

 

- Vas y ! enfonce ! salaud !

 



La douleur monta et je sentis sa queue rentrer dans mon fion alors que la douleur déchirante envahit mon corps inerte de salope. Je sentis son gland envahir son cul et par bonheur sa queue trop courte n'atteindrai jamais le fond de mon anus. J'entendis le mexicain râler dans sa langue hispanique et bien vite je sentis un liquide chaud remplir mon cul. Il avait joui dans moi ! c'était bestial, brutale, violent mais délicieux.

Froidement je déboutonnai mon pantalon et le laissai tomber sur les chevilles ! puis je baissai mon slip sans aucune sensualité avec dans les yeux un regard de braise prêt à irradier le mexicain. Je me retournais promptement en m'accrochant à la rembarde en montrant mon cul offert !

 

- Vas y encule moi ! je fermais les yeux, soumis, honteux mais terriblement excité par le large dard qu'allait me planter le mexicain.

 


Le mexicain vicieux entra dans l'appartement et d'un sourire complice commença un monologue.

 

- Che venais poul le camion ! Lundi matin ch'ai dit aux ouvlier de venir à 7h poul tout déchalger ! vous chelez plet ?

- Oui nous avons fini une bonne partie des cartons, il ne me reste plus que quelques affaires à ranger" répondit NICOLAS un peu agacé de la présence de l'homme et surtout impatient de le voir repartir ! il avait même laissé la porte d'entrée ouverte espèrent le départ imminent du gardien fourbe.

- Vous avez palez à votle ami des coups de téléphone ! là j'ai failli défaillir

- Il chait peut êtle qui vous embête au téléphone ?" à ces mots il se déplaça dans la cuisine très fier de son effet ! NICOLAS ferma la porte et suivit le mexicain.

- Vous chavez depuis la molt de cha pauvle maman ! il y a un fou qui churveille et téléphone tout le chour ! et poul dile des méchancetés ! il doit habiter pal là !" il désigna d'un doigt accusateur l'immeuble d'en face et je vis très nettement la fenêtre de ma chambre.




- Non je ne lui en ai pas parlé ! je m'en sortirai très bien tout seul ! d'ailleurs demain je serai partis ! mais si d'ici là je découvre le salaud qui m'a appelé ! c'est juré je lui casse la gueule !" répondis fermement NICOLAS qui repartis dans l'entrée pour raccompagner notre hote indésirable !

- Je peux repasser demain après midi si vous avez encore besoins d'aide !

- Non merci j'ai besoins d'être seul mais je vous remercie c'etait très sympa !" répondit chaleureusement NICOLAS.

- Che dechend avec vous chi vous voulez !" et le concierge ouvrit la porte de l'ascenseur sans me laisser le temps de saluer NICOLAS. La porte de l'ascenseur se referma et le gardien appuya sur RdC

- Il est tlès chentil ! mais che clois que vous habitez pas loin du monchieur qui appel toultemps" dit sur un ton faussement plaisantin le mexicain. Il appuya sur le bouton d'urgence de l'ascenseur et la cabine stoppa net.

- Qu'est ce que vous voulez encore ! la dernière fois ça n'a pas suffit !

- Ch'est que cha me démanche de tout dile à che pauvle monchieur ! il chera pas content ! rétorqua le gardien tout en se tripotant sa courte queue.

Hypocritement je lui expliquais que j'avais d'autres engagements mais que demain soir avant son départ il pourrait passer chez moi. En fait j'avais terriblement envie de lui ! je voulais lui arracher ses fringues ! le coucher parterre ! me foutre à poil sur lui pour l'embrasser goulûment ! mais je préférais en rester là mon amour à sens unique était impossible !




Alors que je m'approchais de la porte d'entrée la sonnette retentie et NICOLAS ouvrit au gardien mexicain. Il était encore là celui là à nous surveiller ! il allait encore me faire chanter !

 

- Bonchour Monchieur ! che vous deranche pas ! vous etiez avec votle ami ! che repacherai !

- Bonjour Monsieur ! vous ne nous déranger pas ! d'ailleurs il allait partir !

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