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Bonjour et Bienvenu sur mon blog dédié au voyeurisme coquin.
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NICOLAS m'accueillis chaleureusement, il était en jean et t-shirt moulant. Comme le t-shirt était un peu cours à chaque mouvement des bras laissait apparaître son nombril garnis de poils blond roux. Je posais mon blouson et me proposais immédiatement de l'aider. Nous passâmes ainsi une partie de l'après midi à empaqueter des colis, rassembler le maximum d'affaires pour le camion de lundi.

Il parlait beaucoup et semblait ravi d'avoir de la compagnie. J'appris qu'il vivait seul en province et n'avait pas revu sa mère depuis longtemps car depuis le décès de son père ils étaient fâchés. Il me posait pleins de question sur sa mère ! ses habitudes ! son contact ! alors j'imaginais une belle histoire pour le rendre joyeux

Nous riions beaucoup ! puis en fin de journée, pour me remercier il me proposa de boire à notre santé. Il était détendu et j'étais fou amoureux ! je l'admirai ! le complimentais sur sa force ! son intelligence jouant le modeste timide.



 

- Ne partez pas ! si vous voulez nous pouvons dîner ensemble ! je vous dois bien ça ! me lança NICOLAS alors que j'enfilai mon blouson !




- Bonjour NICOLAS !

- Bonjour, comment allez vous !

- Bien merci , nous nous sommes parlé hier au cimetière !

- Oui j'ai reconnu votre voix ! c'est gentil à vous de m'appeler! vous avez le temps de me rendre visite ! j'ai des cartons à finir un camion doit passer lundi matin et nous ne serons pas trop de 2 pour finir de tout ranger ! me proposa NICOLAS.

 

Il semblait me parler comme si nous avions toujours été amis et surtout ne paraissait pas gêné d'entendre ma voix qui pourtant été à peine maquillée !

 

- Bonjour NICOLAS !

- Entrer ! vous devez connaître la maison !




Je me penchais sur le dard et me mis à le sucer. Le goût était rustique et savonneux ! l'odeur de l'homme était forte mais très excitante. Je sorti ses grosses boules du slip blanc. Elles étaient grosses et très poilus surmontées d'une queue courte et massive. Je n'eu aucune peine à gober l'engin jusqu'à la base mais mon cul n'aurai pas supporté la largeur de la queue. Je pompai à fond ! travaillant de mon mieux ce gros gland marron ! bientôt le mexicain râla ! trop vite ! bien trop vite ! et il cracha un long jet de foutre crémeux ! le sperme se répandit sur la toile de son pantalon !

Je sortis brutalement de la voiture en claquant la portière violemment puis couru jusqu'à chez moi.

 


Demain après midi je passerai chez NICOLAS ! la bouche encore pleine du goût de la queue trapue du gardien mexicain. J'avais enfin goûté pour la première fois de ma vie une quequette d'Amérique latine ! ce fut bon mais cours et le jus qui en sorti fut beaucoup moins épicé que je ne l'imaginai. Je fini de me tripoter ma baguette bien française en rêvant au piment juteux planté dans mon cul serré. Je jouis…

Je montais avec lui dans la voiture ! Essayant d'être le plus détendu possible et surtout le plus naturel mais la moiteur de mon front trahissait mon émoi. Ce gardien vicieux s'amusait à me demander des infos sur cette vieille dame dont j'étais le prétendu ami ! Puis au lieu de me laisser comme convenu devant ma porte, il emprunta le parking souterrain ! en s'excusant d'avoir oublié de me déposer !

- Alors comme cha vous connaichiez bien la vieille dame ! je ne vous ai pas chouvent vu ni cloiser dans l'echcalier ! chest dommache ! vous etes chi chympatique ! je voudlai pas que chon filch penche que vous avez menti ! il selait tliste lé pauve !

 


Là je paniquai complètement ! j'étais démasqué et cette situation amusait tant l'homme que j'en étais effondré. Moi l'harceleur je devenais l'harcelé !

 

- Qu'est ce que vous voulez !" j'avais compris que la négociation serait très dure et j'étais prêt à tous entendre.

- Je chai pas ! une petite lécompenche poul mon chilenche ! à ces mots je le vis déboutonner son pantalon et extraire de la toile rugueuse une bite brune et velue ! Che clois que cha chuffila ! poul l'inchtant !

- Je suis très ému de vous rencontrez ! je vous présente toutes mes condoléances ! lui murmurai je ému au bord de l'évanouissement ! mais à peine ma phrase fut elle prononcée que le gardien mexicain arriva immédiatement à ma rescousse.

- Che monchieu ! connaichait bien votle Maman ! il lui lendait chouvent des cerviches ! che monchieur est tles gentil avec votle maman il est tles tliste quand je lui ai dis que votle maman elle etait molte ! se mit à dire le mexicain avec dans l’œil un petit air de complicité dans le regard lorsqu'il me regarda avec insistance.

- Oh ! merci beaucoup ! je suis très touché ! vous savez vous êtes une rare personne qui semblait s'intéresser à ma mère ! je suis encore pour peu de jours chez elle ! j'ai des papiers à régler je serai ravi de vous revoir ! si vous pouvez passer samedi après midi nous pourrons parler d'elle !

 

A ces mots il me tendit une carte de visite professionnelle avec au dos le numéro de téléphone de sa mère. J'en tremblais. Le gardien mexicain visiblement complice me dit en me raccompagnant à l'extérieur du cimetière:

 

- Ché tun monchieur tlès gentil mais tlèr cheul ! il ne connait perlchonne ichi ! vous vellez il est tlès chympatique !

 


Ce gardien vicieux avait du découvrir la véritable identité du harceleur ! lui qui connaissait tout les occupants de l'immeuble avait du immédiatement me démasquer en regardant par la fenêtre de la cuisine. Je commençais a paniquer ! complice ou pas complice ! je n'allais quand même pas aller jusqu'à me débarrasser de ce mexicain gênant !

 

- Che peux vous l'accompagner chi vous voulez ! chai ma voiture dans la lue ! prononça le gardien avec un air entendu.

7h30 ce matin je me suis levé tard ! je vais à l'enterrement de la vieille femme. J'ai mis mon beau costume sombre avec une chemise blanche immaculée et une cravate sobre et discrète. Je veux être séduisant tout en restant humble et discret. J'ai le cœur qui bat à l'idée de notre première rencontre. Je suis si concentré que ce matin je n'ai pas par respect pour NICOLAS regardé par la fenêtre. Le faire part mentionnait l'inhumation à 10h30 au cimetière municipale. Je m'y trouvais ainsi que des inconnus, des visages familiers, des amis sans doutes ou des voisins. Je pris un air affligé. Dans l'assistance je remarquais la présence du gardien mexicain dans un costume étriqué et peu seyant.


La lourde voiture entra dans le cimetière suivit d'une petite foule clairsemée et endeuillée. A la tête du cortège un homme grand et sévère, le visage dur, c'est NICOLAS. Je ne le reconnu pas immédiatement car il avait rasé sa douce barbe et son visage d'ange apparu dur et souffrant. Au bras de NICOLAS une femme âgée ! peut être la sœur de la vieille dame ! dans le cortège des gens sans ages, indifférents à la vie sans tumultes de cette solitaire.


Le corps fut mis en terre et bientôt arriva le moment de la bénédiction et les condoléances aux familles. Je me mis dans la file et attendis mon tour, j'approchais de NICOLAS, mon cœur battait très fort car j'étais décidé à lui révéler mon identité et mon immonde imposture. Je pris le goupillon et fit au dessus du simple cercueil de bois clair un signe de croix. M'approchant de NICOLAS je le fixais droit dans les yeux et lui pris les deux mains. Elles étaient douces et puissantes et les miennes fébriles.


6h30 mon réveil sonne et mon plan se précise ! après le contact téléphonique il faut organiser le contact visuel et plus tard le contact physique.

7h30 lavé et habillé je pris le poste de téléphone et composai le numéro caché dans le noir de ma chambre le corps fébrile du premier contact matinal avec NICOLAS.

Le téléphone sonna et sonna encore !!! à la dixième sonnerie…

 

- Allô ! qui est à l'appareil !

- C'est moi ! bonjour NICOLAS !

- A c'est vous ! vous ne voulez toujours pas vous montrez ! vous savez je mène mon enquête et si je découvre qui vous êtes alors je vous casserai la gueule ! marmonna en colère NICOLAS. Je ne le voyais pas car il devait être dans sa chambre ! et de chez moi on ne voyait que sa cuisine.

- Quand vous finirez de jouer avec mes nerfs ! c'est pas drôle ! vous voulez du Fric ! j'en ai pas ! vous voulez mon cul ! il est pas à vendre ! NICOLAS devenait grossier et tout en m'excitant je n'aimais pas ce ton vulgaire qui ne correspondait pas à la douceur de ses traits et à a beauté de son corps.

- Je vous veux du bien ! bientôt je vous dirai qui je suis ! puis je raccrochai le téléphone déçu d'avoir provoqué ce rejet. Enfin ce jeu commençait aussi à me déplaire car je n'obtiendrai rien de NICOLAS s'il se refuse à moi ! je devais gagner sa confiance.

 


Je finis de me préparer quant à 8h15 je vis rentrer NICOLAS entièrement nu dans sa cuisine. Il se mis face de la fenêtre bien en évidence comme pour me narguer ! Il commençait à faire des signes de la main comme pour m'appeler. Il était très énervé et son superbe corps était crispé de colère.

Ses muscles puissants et son torse rebondit semblaient prêt à sauter sur une proie imaginaire ! Il continua ses gestes en direction de l'immeuble puis bientôt commença à mimer une masturbation avec son beau sexe demeuré inerte et puis se fût l'apothéose !!!

Il se retourna et se baissa exhibant son cul offert et rebondit dont les poils faisait un divin coussinet de repos du guerrier ! je n'en pouvais plus ma queue était prête à exploser et déchirer le pantalon. Je n'en croyais pas mes jumelles qui me restituait fidèlement la beauté d'un anus vierge et la rondeur d'un fessier viril.

Je raccrochai et par surprise je vis le gardien Mexicain pénétrer dans la cuisine avec NICOLAS…

J'étais tellement excité d'avoir vu NICOLAS dans le plus simple appareil que je ne pu m'empêcher de me branler frénétiquement et rapidement un long jet de sperme jaillit de mon sexe et alla s'écraser vivement contre la paroi murale.

NICOLAS désigna du doigt les fenêtres de l'immeuble d'en face semblant expliquer au gardien les appels anonymes. Le gardien était encore plus excitant que la première fois. Il portait un pantalon de jogging et laissait deviner un bon paquet de couilles juteuses. Son t-shirt souillé cachait mal un petit bide bien rebondit et certainement très confortable. J'ai toujours rêver de me taper un mexicain ça doit pas être dégueulasse ! pensais je en moi alors que la vision des deux hommes me laissait dans tous mes états ! je les imaginais déjà se sautant sauvagement l'un sur l'autre pour se sodomiser violemment et se pomper à fond. Il n'en fut rien et le gardien repartit ! laissant à nouveau NICOLAS seul sans tendresse !



- Allô ! bonjour NICOLAS ! n'y tenant plus je décidais de téléphoner de nouveau à mon coup de foudre

- Tiens ! encore vous ! vous allez pouvoir m'aider ! répondit NICOLAS à peine surpris de m'entendre !

- Oui je suis là pour ça et je pourrai exaucer vos vœux si vous cherchez l’âme sœur !

- Il faut que nous ayons une petite explication tous les deux ! qui êtes vous ! et que me voulez vous ! vous savez ma…

- Oui je sais votre mère est décédée ! et je vous présente toutes mes condoléances ! je ne vous veux pas de mal et je suis votre ami ! nous pouvons parler !

 

- Les nouvelles vont vites mais cela ne m'amuse pas ! vous allez me dire qui vous êtes sinon j'appelle les flics. répondit très fermement NICOLAS.




Je ne répondis pas et raccrochai immédiatement. NICOLAS pesta contre le téléphone puis continua sa cuisine tout en regardant par la fenêtre cherchant d'ou pouvait venir l'appel. Je pris également mon dîner rêvant d'un tête à tête langoureux avec mon bel aimé.

- Vous avez bien dîné !

- Oui merci ! mais je trouve la plaisanterie douteuse ! vous êtes en face n'est ce pas ! vous me surveillez !" répondit NICOLAS à la fenêtre regardant mon immeuble avec insistance. Caché dans le noir je voyais ces lèvres bouger.

- Je suis nu NICOLAS ! et je pense à vous à cet instant ! osais je murmurer. La scène étrange était extrêmement bandante et bientôt mon étendard se dressa.

- C'est ça ! vous êtes un obsédé ! espèce de salopards ! vicieux ! c'est dégueulasse !

- Oui c'est dégueulasse mais délicieux ! je suis nu NICOLAS ! et je bande pour vous ! la voix envoûtante et tremblante je prononçai ces paroles indécentes.

- Qu'est ce que vous me voulez à la fin ! qui êtes vous ! je ne vous dénoncerai pas ! putain vous allez vous démasquer !" commença à hurler sa haine contre le harceleur.

- Nous allons jouer à un jeu NICOLAS ! à chaque question posée vous retirerez un vêtement !

- Vous voulez me voir à poil ! fut surpris NICOLAS Vous êtes malade ! il sembla réfléchir ! C'est pas un problème je ne suis pas du tout pudique ! à ces mots il retira son peignoir et laissa regarder son corps superbe. Ca vous va ! vous allez dire qui vous êtes ! salopards ! à ces mots la sonnette de la porte d'entrée retentit et NICOLAS du remettre son peignoir.


 



 

Je pris le téléphone et composa le numéro de NICOLAS !

 

- Allô NICOLAS ! les boites pour le chat sont dans le placard au dessus de la hotte !

 

Je raccrochai sans laisser répondre mon interlocuteur, très fier de mon petit effet !

A la sonnerie du Téléphone NICOLAS était sortie de la cuisine pour décrocher ! A son retour je le vis complètement médusé ! il ouvrit le placard au dessus de la hotte ! et découvrit les boites pour le chat". Le matou avait suivi la scène sans rien comprendre et son nouveau maître non plus. NICOLAS se mis à regarder par la fenêtre scrutant l'immeuble d'en face !

 

- Allô NICOLAS ! l'ouvre boîte est dans le tiroir sous la plaque électrique !

- Allô ! qui êtes vous !" dit d'une voix surprise et haletante le pauvre NICOLAS. Muni du téléphone sans fils il se déplaça dans la cuisine et trouva comme convenu l'ouvre boite à sa place.

- C'est le chat qui va être content dis je en raccrochant le combiné trop ému d'entendre la voix d'un si joli garçon. Mon cœur battait très fort mais j'étais enchanté de l'effet produit.

 

NICOLAS reposa le téléphone regarda par la fenêtre sans soupçonner d'où pouvait provenir l'appel et se mis sur le champs à nourrir la pauvre bête amaigrie. Le soir venu je jetai un oeil distrait par la fenêtre et découvris mon beau male en pleine action culinaire dans son beau peignoir. La scène était amusante car de bien entendu NICOLAS ne trouvait rien et pestait contre le chat toujours entre les jambes.


- Allô ! bonjour NICOLAS ! n'y tenant plus je décidais de téléphoner de nouveau à mon coup de foudre

- Tiens ! encore vous ! vous allez pouvoir m'aider ! répondit NICOLAS à peine surpris de m'entendre !

- Oui je suis là pour ça et je pourrai exaucer vos vœux si vous cherchez l’âme sœur !

Je retournais donc chez moi et commençais mon enquête. Le faire part mentionnait le nom de cette femme et aussi le nom de son fils qui dans la douleur annonçait le décès de sa mère.

NICOLAS était ce joli prénom si doux, si tendre que j'avais envies de serrer dans mes bras tant mon coup de foudre de la première vision était total. Je pris l'annuaire et trouvait facilement le numéro de téléphone.

C'est décidé demain je l'appelle…Ma décision était prise, ce type était vraiment trop mignon pour le laisser filer. Cette nuit là NICOLAS remplit ma vie de phantasme et je m'imaginais déjà lui arracher son peignoir de bain pour lui pomper la queue encore savonneuse.

 6h30 réveil mécanique et sourire au lèvre car ma trique matinale est la bien venue. Manger laver et direction mon poste d'observation.

7h30 positions du chasseur de palombe, j'ai l’œil rivé sur la fenêtre de la cuisine. NICOLAS devrait arriver bientôt !

8H10 la porte de la cuisine s'ouvre et apparaît tout habillé NICOLAS, je suis un peu déçu mais il est très élégant dans son costume sombre. Il a l'air encore plus grand et encore plus baraqué. Il porte le chat dans les bras qu'il caresse tendrement. J'aimerai être le chat et être caressé par les belles mains de NICOLAS.

NICOLAS se mis a chercher partout de la foutue nourriture pour le matou ! il commença par fouiller et retourner les placards sans rien trouver.


Il fait chaud, très chaud, mon voisin sort sur son balcon, une CORONA à la main. Il boit au goulot, j'imagine ma queue dans sa bouche, je suis le goulot de sa bière. La mousse fraiche coule le long de sa joue.


- ché poulquoi ! m'interrogea t il souriant !

- Je suis inquiet de ne plus avoir de nouvelles de la vieille dame du 4ième ! j'avais l'habitude de l'aider de temps en temps à faire ses courses au supermarché et depuis 2-3 jours je ne la vois plus !

 L'homme un peu interloqué ! me fixa des yeux ! et repris le dialogue toujours avec ce superbe roulement de RRR

- Vous n'étes pach au coulant ! ch'est une drame ! ché tliste ! ché t'allivé chi vite ! elle est molte il y 2 jouls ! ché tliste ! chon fils est là poul l'entellement !

 Prenant un air affligé j'apparu attristé ! c'était donc ça ! je comprenais mieux la disparition de cette vieille femme ! les pleures de son fils, mon bel ourson n'était autre que son fils et il me fallait faire très vite si je voulais le consoler entre mes bras.

- En effet c'est affreux ! que puis je faire ! je voudrais faire un geste ! cette femme était si gentille ! vous avez une adresse ou je peux envoyer mes condoléances !

Le gardien me tendit une enveloppe !

- tenez chon fils a laiché un paquet de faile palt ! vous poullez allez à l'entellement ché Vendledi !

- Merci beaucoup de votre aide ! mais dites moi j'entends cette délicieuse petite pointe d'accent seriez vous espagnol ! catalan peut être ! m'amusais je à demandé à ce fier gardien compatissant !

- Non pas dou tout ! ché choui Mekchicain ! lança-t-il en rigolant Dommage pour moi je ne m'étais jamais tapé un mexicain ! ça doit pas être dégueulasse un belle quequette mexicaine surtout portée par un barbichon viril.


BINGO il entre dans la pièce. Il est ruisselant, fraîchement douché, torse nu,une grande serviette rose autour du bassin. Il est beau comme un dieu grecque.

Il s'assied sans s'occuper du chat et met sa tête entre ses mains. Mes jumelles neme trahissent pas. Il pleure et reste là hébété. Il s’essuie son visage d'ange et sort de la pièce.

Pauvre chat ce matin il n'aura rien à déjeuner. Il faut que je trouve un plan efficace pour rentrer en contact avec lui.

Ma décision prise dès le soir rentré je me précipite chez le concierge del'immeuble pour en savoir plus. Je sonne à la loge, un homme d'origine ibérique m'ouvre . Il a un fort accent .

"BonjourMonsieur "lui dis je un peu intimidé, il porte un Marcel blanc sur un pantalon de toile et bien que de taille moyenne il semble bien fait. Son visage est illuminé par une jolie barbichette bien taillée. Son pantalon semble bien rempli.


L'homme ouvre la fenêtre. il attache sa chemise, fait un signe de la main, c'est un taxi en bas qui l'attend . Il se presse, éteint la lumière. Il est parti. Il faut que je le rencontre au plus vite.

Je suis là dans ma cuisine il est 8h20, je tiens ma queue entre les mains et je me presse les couilles. Je ne veux pas jouir je vais vraiment être en retard cematin. Dans le métro je réfléchis à un plan.

Comment l'aborder, discrètement. Il est sûrement pas Homo. Il est vraiment trop bien pour laisser une occase pareil. ou est la vieille femme ? sera-t-il là demain?

6h30 Ce matin j'ai 1/2 heure pour me préparer et garder le reste du temps à matermon bel athlète. Hier mon retard fut dur à justifier.

7h30 Rien mais je suis prêt . Cette fois ci j'ai même pensé à prendre des jumelles que j'ai plaqué , réglé et orienté sur la cuisine de la vieille femme .

7h50 Décidément il n'est pas ponctuel. La porte s'ouvre, une forme noire entre en premier . Pauvre chat a-t il enfin trouvé les boites ...


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