L'acteur suédois Alexander Skarsgard se retrouve nu sur la glace pour les besoins du Film True Blood.
Ce Suédois au corps parfait n'a vraiment pas froid aux yeux, ni ailleurs du reste.
Petite exhibition nordique, d'un peuple très peu pudique, on adore...
Je bois tranquillement un verre en terrasse quand soudain, à la table voisine s’installe un jeune couple. L'homme svelte, Jean taille basse, se penche et s’assoit, laissant du même coup entrevoir une raie dépassant du Jean. Mon cœur vint de tressaillir, j'ai une faiblesse dans la vie, celle de mâter les belles raies. Ces raies dévoilées sont pour moi autant de moments délicieux et rares que je capture du mieux possible, du regard ou de mon œil numérique.
Il se penche pour prendre sa valise, il s'assied pour essayer un soulier, il s’accroupit pour ramasser quelques chose, il bêche au jardin, ou creuse un terrain, il se plie pour récupérer sa canette au distributeur, sont autant de moments où mon œil pervers peut récupérer quelques brides de ce décolleté masculin. Car ces petites raies dévoilées sont pour moi comme des échancrures de poitrines féminines. Les fesses des hommes sont l'équivalent pervers des seins de femmes.
Ce petit trait glabre ou velu laisse immédiatement deviner d'autres plaisirs sodomites. Gourmand j'ai envie d'y glisser un doigt même s'il en ressort tout chocolat. C'est la porte d'entrée des globes charnus et rebondis que l'on a envie de malaxer à l'envie. C'est le sésame habituellement caché qui propose de voluptueuses pensée vers des grottes à explorer. C'est le signal qui dans la nuit vous guide vers la porte d'entrée.
Rater ce dévoilement est pour moi un déchirement. Si habituellement ces raies se découvrent à mon insu, j'ai réussi à en capturer numériquement . Mais combien de raies n'ai je pas entrevu ? cette simple pensée m'attriste et me confond en lassitude d'une perversité coupable. Alors si longtemps je ne prêtai attention que de manière discrète et désinvolte, je me suis mis en demeure de fureter ces belles raies. Chasseur de raie, je serai.
Planté devant le distributeur, je scrute le militaire ou l'étudiant qui se courbera suffisamment pour dévoiler son intimité. Parcs et jardins sont autant de lieux ou nonchalamment le garçon peut farouche aimera à s'accroupir, trop tard je serai là. Les terrasses de cafés, bancs publics et escaliers sont des lieux propices à l'exhibition involontaire de ce joli trait. Les beaux jours, mon rituel tourne à l'obsession d'une prise quotidienne d'une ligne de cul. Les marches blanches de la Grande Arche sont un carnage visuel, quand à l'heure du déjeuner viennent s'exhiber les raies parfumées des cols blancs du quartier.
Addiction à la raie, perversion de mes traits qui dissimulés ne veulent rien rater de ce spectacle pour fétichiste frustré. Si ces raies sont des portes d'entrée, je ne pourrai pourtant jamais leur rendre visite et la porte restera à ma bite définitivement fermée. C'est un plaisir solitaire et visuel que d'imaginer une suite à cette opération de visionnage annal. Que ce cache derrière cette ligne pointillée de poils en bataille ? Ma caverne d'Ali Baba. Je cherche, je capture, je furette, je palpite.
Mon disque dur est rempli de ces images volées de raies ainsi capturées. Ces images ne sont pourtant qu'un dixième de celles qui se sont dévoilées devant mes yeux. Je soupçonne le malin de jouer avec moi quand en pleine gare Montparnasse, le jeune homme que je suivais c'est brutalement arrêté et baissé pour dévoilée à 7h du matin la superbe raie qui me hantera toute la journée. Le Malin c'est bien moquer de moi car il savait que je ne pourrai pas saisir cette offrande. La frustration de n'avoir pu dégainer à temps mon mobile pour saisir l'instant sera ainsi ma punition.
Ces raies me hantent, au point où je ne distingue plus le mâle du féminin. L'échancrure suffit que le modèle soit jeune ou âgé, mâle ou femelle. Tous y passent, ouvriers sur un chantier comme sportifs au stade, qu'ils me montrent leur raie et je serai enchanté. Alors quand l'hiver approche à grand pas et que les manteaux cacheront toute une saison, la divine surprise, je resterai là à regarder l'illustration de mes exploits avec l'envie de vous en faire profiter.
Dévoilez moi vos raies...
Envoyez moi vos plus belles photos
Comme il a plus tous les jours de Juillet
et que Paris Plage est un Fiasco total
Alors je me suis rabattu sur les raies du culs
Les jolies raies du cul qui dépassent
débordent, sortent et glissent du pantalon
C'est amusant de capter toutes ces raies
des raies lisses et des raies velues
des raies juvéniles et des raies viriles
des raies de touristes ou de travailleurs...
Voici l'édition 2010 de la GayPride Parisienne
comme-ci vous y étiez, publication réservée aux abonnés
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